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«Quelquefois c’est la musique qui me rend à mon royaume.»
«Je songeais à une «Suite héroïque pour la Finlande».
Je l’écrirai peut-être.
À moins que, paradoxalement, j’arrive moi aussi à écrire
mon «Ode à la joie».
Pourquoi pas ?»
À René Rouquier, 1er Mai 1940.
«L’autre jour j’ai eu le bonheur d’entendre le concerto
pour violon et orchestre de Mozart, et d’être en état de
l’entendre, je veux dire en état de grâce.»
«J’ai été aidée dans mon poème par le «Magnificat» de Bach. Mais mon poème n’en garde presque rien, hélas !...
Cette aisance dans les développements, cette profusion d’eaux vives ! La voilà, la poésie naturelle, spontanée, et cependant extrèmement ordonnée.»
Lettre à Joseph Salvat.
Puisque mon âme est triste ce soir, Sibélius,
Veux-tu que je te donne
Ma petite plaine d’automne ?
Pour la valse triste.
«Entendu «Baigneuses de soleil», de Déodat de Séverac.
Musique de cristal. Il faudra la réentendre pour l’analyser.»
Journal, Louisa Paulin
Totjorn la musica que me secuta e me fa «trobar» .
«C’est toujours la musique qui me sollicite et m’aide à créer.»
A Joseph Salvat, 21 Décembre 1942.
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